L’enterrement en situation d’immigration constitue le sujet d’une recherche participante et d’un travail filmique documentaire fondés sur le récit de soi, c’est-à-dire les stratégies narratives mises en œuvre pour se raconter ou pas.
La mise en scène de la parole intime dans le cadre du tournage du film repose sur une méthodologie ethnobiographique d’autant plus rigoureuse que le sujet traité, la mort de proches ou le projet posthume, appelle à la retenue et au respect de l’émotion des témoins. En jeu, pour ces derniers, la permanence des liens intergénérationnels et les appartenances multiples à plusieurs espaces sociaux et à plusieurs pays.
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