Le séminaire doctoral du Centre Max Weber est animé par des doctorant.e.s et pour les doctorant.e.s du laboratoire. Il est un espace d’échanges au sein duquel il est possible de discuter, en toute convivialité, de vos recherches.
Il cherche à inclure des profils aussi divers que possible dans son animation : des doctorant.e.s en première année aux jeunes chercheurs chevronnés, des doctorant.e.s de toutes les équipes et institutions qui composent le Centre Max Weber (Lyon 2, ENS, Saint-Étienne…). Toutes les traditions théoriques sont les bienvenues.
Déroulement : cinq ou six séances d’environ 2h30, traditionnellement suivies d’un buffet.
Il ne s’agit bien évidemment pas de faire primer un concept sur l’autre, mais d’explorer ces domaines d’étude avec les intervenant.e.s, en distinguant et en rendant justice à la richesse de chacune des perspectives.
Comment participer ?
Pour découvrir les « intérêts de connaissance » qui dominent parmi vous, l’équipe d’organisation vous demande de lui envoyer le titre provisoire, ainsi qu’une liste des thèmes et/ou domaines d’étude dans lesquels s’inscrivent votre travail (sociologie de la famille, sociologie du travail, sociologie de l’entreprise, sociologie de la santé, sociologie du genre…). Vous pouvez également préciser la tradition théorique dans laquelle vous vous inscrivez.
Merci également de préciser les deux soirées de la semaine qui vous arrangent le plus pour assister au séminaire (du mardi au vendredi).
Contact :
En savoir plus : consulter le livret d’accueil des doctorant.e.s du laboratoire.
Domitille Blanco et Lola Vives informent du lancement d’un nouvel atelier à destination des doctorant.e.s du laboratoire. Cet atelier se veut complémentaire au séminaire doctoral et à l’atelier d’analyse des pratiques de recherche de terrain ; comme un outil supplémentaire au service des doctorant.e.s.
Argumentaire : l’exercice de l’écriture concerne tout.e.s les doctorant.e.s et ce à de nombreuses étapes de la thèse (articles, recherche de financement, rapports, thèse). L’écrit est une des formes "visibles" de la recherche ethnographique et est au cœur de nos pratiques. Sa conception et sa production soulèvent de nombreuses questions et parfois des résistances. Il en va du choix de l’énonciation (« je » / « nous »), de la bonne articulation des données ethnographiques et contextuelles et de la façon de gérer l’anonymat, ou encore de la manière de nous introduire dans nos textes.
L’atelier mis en place est un atelier d’écriture ethnographique, où les doctorant.e.s pourront exposer leurs difficultés et partager leurs expériences et leurs conseils. Des exercices pratiques et des lectures commentées du point de vue de la forme sont prévus.
Déroulement : l’atelier prendra une forme un peu expérimentale sur ce premier semestre 2018. Sa forme définitive sera arrêtée à la rentrée universitaire prochaine. Il se tiendra à un rythme mensuel.
Le premier chapitre d’Écrire les sciences sociales de Howard Becker pourra servir de support à discussion lors de la première séance. Seront mis en place de courts exercices d’écriture, issus de la pratique de l’atelier d’écriture de l’EHESS, mené par Michel Naepels.
Par ailleurs, n’hésitez pas à venir avec un article que vous appréciez du point de vue de la composition ou de l’écrit (l’idée n’étant pas de parler du contenu mais plutôt de la forme).
Pensez à signaler votre intérêt et/ou votre venue, ou à poser vos questions à Lola Vives.
La première séance aura lieu le jeudi 15 février 2018, de 14h00 à 17h30 et se tiendra en salle D4-00143 du site Descartes de l’ENS de Lyon (15 parvis René Descartes - 69007 Lyon).
Contact : Lola Vives
Les 15, 16 et 17 novembre 2017, s’est tenu à l’Université Jean Monnet de Saint-Étienne le colloque international :
« Le sans-abrisme en débats. Actualités et nouvelles perspectives de la recherche en sciences sociales »
Co-organisé par le Centre Max Weber, ce colloque souhaitait constituer un espace d’échange afin d’ouvrir de nouvelles perspectives à la recherche sur le sans-abrisme.
Dans ce cadre, un protocole d’interviews d’une trentaines de participants (chercheur.e.s et professionnel.le.s) a pu être réalisé dans un studio, parallèlement au déroulement du colloque. Il a été préparé par le réseau « Aux frontières du sans-Abrisme » et par le Centre Max Weber. Les vidéos ont été tournées par Christian Dury (ingénieur d’étude CNRS, Institut des sciences de l’homme), Manon Istasse et Olivier Ocquidant (CMW).
Vous trouverez l’ensemble de ces entretiens filmés sur une page Web dédiée, au sein du site 25images SHS de l’Institut des sciences de l’homme. Son alimentation et sa mise en ligne sont gérées par Christian Dury.
L’équipe 2 du Centre Max Weber, Dynamiques sociales et politiques de la vie privée, convie à la quatrième séance publique de son séminaire 2017-2018.
Son invité en sera Julien Bernard, maître de conférences en sociologie à l’Université Paris Nanterre et chercheur au laboratoire Sophiapol.
Intitulé de l’intervention : « Partir sans laisser de trace : divergence et concurrence des sentiments autour du don du corps à la science »
La séance aura lieu le vendredi 9 février 2018, de 10h à 13h, en salle Berty Albrecht de l’Institut des sciences de l’homme (16 avenue Berthelot - 69007 Lyon)
Contact : Gaëlle Clavandier
En savoir plus : programme (complété) du séminaire en pièce jointe :
Le Séminaire Image Animée du Centre Max Weber vous invite à la troisième séance du programme 2017-18.
Il s’agira d’une séance de retours d’expériences de recherche avec l’image animée, organisée avec l’équipe 3, Politiques de la connaissance : savoirs situés et enjeux démocratiques du Centre Max Weber.
Intervenants :
Responsable et animation de la séance : Béatrice Maurines.
La séance se tiendra le vendredi 16 février 2018, de 9h30 à 11h30, en salle B. Albrecht de l’Institut des sciences de l’homme (16 avenue Berthelot - 69007 Lyon).
Attention : de 11h30 à 13h, le séminaire interne de l’équipe PoCo prendra le relais.
Contact : sia@ish-lyon.cnrs.fr
En savoir plus : présentation de la séance et plaquette de présentation générale du séminaire en pièces jointes :
Le séminaire Action collective, commun au Centre Max Weber et à Triangle, en est à sa septième année d’existence. Il se propose cette année de réfléchir sur la thématique : Protestation et résistance en contexte autoritaire , en sollicitant des spécialistes de contextes autoritaires variés tant géographiquement que temporellement.
La cinquième séance de l’édition 2017-2018 aura pour invité David Copello (Sciences Po, CEVIPOF).
Intitulé de l’intervention : « Une cause apolitique ? Luttes pour les droits de l’Homme et sociabilités révolutionnaires dans l’Argentine autoritaire (1971-1991) »
Pour les doctorant.e.s, l’inscription au séminaire se fait auprès de Sophie Béroud : sophie.beroud@univ-lyon2.fr.
La séance aura lieu le jeudi 22 février 2018, de 10h30 à 12h30, en salle D4.260 (ex R.253) de l’ENS de Lyon (15 parvis René Descartes - 69007 Lyon).
Contact : Lilian Mathieu
En savoir plus : présentation complète du séminaire sur le site Web de Triangle
Le Centre Max Weber et Triangle invitent à la quatrième séance du nouveau séminaire scientifique « S’approprier le monde ».
La séance aura pour invité Ivan Bruneau, maître de conférence à l’Université Lumière Lyon 2 et membre de Triangle.
Intitulé de l’intervention : « “Je ne pourrais pas vivre ailleurs”. Appropriations des lieux et constructions de normes alternatives en Nouvelle-Angleterre (États-Unis) »
La séance se tiendra le vendredi 2 mars 2018, de 9h30 à 12h, en salle H410 du campus Porte des Alpes de l’Université Lumière Lyon 2, bâtiment H (5 Avenue Pierre Mendès France - 69500 Bron).
Contact : Sophie Denave
En savoir plus : programme du séminaire en pièce jointe :
Adaptation à l’anglais américain par son auteur de L’empreinte du poing. La boxe, le gymnase et leurs hommes (Éditions de l’EHESS, 2014).
This book explores the lived experiences of boxers in a French banlieue, largely populated by people from working-class and immigrant backgrounds. Jérôme Beauchez, who joined in the men’s daily workouts for many years, analyzes the act of boxing as a high-stakes confrontation that extends well beyond the walls of the gym. Exploring the physical and existential realities of combat, the author provides a multifaceted “thick description” of this world and shows that the violence faced by the gym’s members is not so much to be found in the ring as in the adversity of everyday racism and social exclusion.
Boxing can therefore be understood as an act of resistance that is about more than simply fighting an opponent and that reflects all the existential struggles facing these men who are both stigmatized and socially dominated by race and class.
En savoir plus : table des matières et extrait disponibles sur le site Web de l’éditeur
Souffrant d’une réputation sulfureuse, la « zone » fait l’objet de nombreux fantasmes mais reste quasi-invisible du point de vue des sciences sociales. En retraçant les étapes de constitution de cet espace non aedificandi aux marges de Paris, ce dossier thématique de la revue Espaces et sociétés permet d’en restituer la profondeur socio-historique.
Mais la « zone » apparaît aussi au fil des contributions comme caractéristique d’une jeunesse actuelle qui, de Berlin à Paris en passant par le Royaume-Uni, contribue à inventer un espace et un style de vie nomades, à distance des institutions.
En savoir plus : numéro intégralement disponible en ligne via CAIRN (accès authentifié)
À paraître le 15/02/18.
Le « Collectif de la Grande Côte » est une équipe de recherche en sociologie, science politique et histoire. Il est composé de François Alfandari (Université Lyon 2), Sophie Béroud (Université Lyon 2), Laure Fleury (ENS de Lyon et Université de Lausanne, CMW), Camille Masclet (Université Paris 8 et Université de Lausanne), Lilian Mathieu (CNRS-ENS de Lyon, CMW), Vincent Porhel (Université Lyon 1) et Lucia Valdivia (ENS de Lyon, CMW).
Contre l’image trompeuse d’un Mai 68 strictement parisien et estudiantin, il est important de rappeler, cinquante ans après l’événement, qu’il a affecté la France entière. Manifestations étudiantes, occupation des universités, grève généralisée dans les entreprises et les services publics, échanges de pavés et de gaz lacrymogène sur les barricades… mais aussi mobilisation anticipatrice de la Rhodiacéta ou décès du commissaire Lacroix : le Mai lyonnais n’est pas que la simple reproduction de celui de la capitale, puisque c’est dans le Rhône que se sont déroulés certains des épisodes décisifs de la crise.
Étudier les années 68 à Lyon, c’est aussi replacer Mai 68 dans une séquence historique plus large, amorcée par l’explosion des effectifs universitaires et poursuivie par une floraison de mobilisations aussi diverses que déterminées, à l’extrême gauche et dans le champ syndical, au sein du mouvement féministe ou encore dans la vie des quartiers.
À noter : les membres du Collectif présenteront au public leur enquête, ainsi que leur vaste collecte de témoignages et de documents, jeudi 1er mars, de 18h à 20h, dans l’enceinte du Grand amphithéâtre du Campus Berges du Rhône de l’Université Lumière Lyon 2 (16-18 quai Claude Bernard - 69007 Lyon). Entrée libre.
En savoir plus : présentation complète de l’ouvrage disponible sur le site Web de l’éditeur
L’association France Parkinson lance son deuxième appel à projets de recherche en sciences humaines et sociales dans le domaine du vivre avec la maladie de Parkinson.
Argumentaire partiel : la prise en charge de la maladie de Parkinson et de ses conséquences ne se limite pas à l’application de traitements médicamenteux. La recherche de solutions au plus près des personnes atteintes de la maladie et de leurs proches est un combat prioritaire.
Cet appel à projets en SHS vise à augmenter la connaissance et la compréhension des problématiques du quotidien des personnes malades et de leur entourage et permettre l’émergence de solutions.
Chaque proposition portera explicitement sur une thématique en lien avec le champ d’action de l’association France Parkinson et s’inscrira dans une approche correspondant aux axes A, B ou C :
Toute étude portant sur les axes de l’appel à projets sera examinée.
Le financement, allant jusqu’à 50 000 € par projet pour une durée maximale de trois ans couvrira :
Critères éligibilité : les projets devront formuler spécifiquement une question de recherche traitant des problématiques liées à la maladie de Parkinson. Les études pourront consister en des recherches d’observation, et/ou d’intervention et le bénéfice pour les patients ou les aidants devra être explicitement indiqué/détaillé. Pour l’ensemble des thématiques, les recherches peuvent reposer sur des méthodologies très variées.
La présentation du projet doit s’appuyer sur une littérature scientifique solide. Une connaissance précise de la maladie est exigée. Par ailleurs, les objectifs et les résultats visés du projet doivent être énoncés de façon explicite. La méthodologie doit être précise et rigoureuse et être présentée sous forme de plan d’étude détaillé.
Les demandes de subvention, complétées et signées par le Demandeur et/ou le Responsable de projet (en cas de demande de bourse) devront être soumises par mail à : e.busch@franceparkinson.fr au plus tard le 23 février 2018.
Elles devront être accompagnées d’un résumé de vulgarisation en français détaillant le projet de recherche.
Contact : e.busch@franceparkinson.fr
En savoir plus : consulter l’appel détaillé sur la page Web dédiée
Le CNRS, renouvelle, à travers la Mission pour l’interdisciplinarité, l’appel à projets non thématique
« Osez l’interdisciplinarité ! »
Il a pour objectif d’aider les chercheur(e)s, en poste au CNRS depuis au moins huit ans, qui souhaitent orienter leurs recherches vers l’interdisciplinarité à travers un nouveau projet scientifique résolument novateur ne pouvant être amorcé sans un soutien spécifique.
Pour être recevable au titre de cet appel, le projet doit correspondre à un changement thématique et inclure de nouvelles collaborations issues de disciplines différentes. Le projet devra permettre l’émergence d’une dynamique interdisciplinaire visible. Une attention particulière sera portée aux projets accompagnés d’une mobilité géographique.
L’interdisciplinarité, le risque, et le caractère de rupture seront les critères clefs de la sélection des projets qui sera effectuée par le comité de pilotage de la MI sous la présidence de la Directrice Générale Déléguée à la Science. Une audition des candidats présélectionnés sera organisée au siège du CNRS (PMA, Paris 16e).
Date limite de dépôt des propositions : 12 mars 2018, à midi.
Contact :
En savoir plus : consulter la page Web dédiée
La revue Émulations. Revue de sciences sociales a lancé un appel à contributions pour un numéro sous la direction de Frédérique Giraud (ENS de Lyon, Centre Max Weber), qui paraîtra début 2019 aux Presses universitaires de Louvain. Il sera consacré au thème :
« Enfances à l’école »
Argumentaire partiel : l’enfance est un âge biologique indubitablement social, construit culturellement et historiquement, avant d’être un fait de nature (Court, 2017). Dans ce travail de façonnage, les institutions éducatives jouent un rôle de premier plan, différencié selon les contextes locaux, la composition du public, les attentes des familles et les parcours des acteurs.
Comprenant les institutions éducatives comme « des phénomènes culturels à part entière » (Riesman, 1991), ce dossier souhaite étudier les manières dont ces dernières, par l’intermédiaire des acteurs qui les incarnent, pensent les enfants et les enfances, en étudiant de près leurs caractéristiques et les pratiques concrètes des acteurs éducatifs. Par-dessus tout, il s’agira de réussir à documenter la variabilité (géographique et culturelle) des principes de scolarisation en Europe en s’attachant à des études montrant la diversité des attentes des acteurs vis-à-vis de l’école, ainsi que les contours variés des pratiques et des représentations concernant la pédagogie et l’enfance.
L’ambition d’un tel dossier est d’interroger et de confronter le travail de socialisation, pluriel et non concordant (Delay, Frauenfelder, 2013) de tous les acteurs intervenants auprès des enfants dans les institutions éducatives : enseignants, personnel du soin, médecin, pairs et parents. D’une école à l’autre, aux mêmes âges biologiques, les enfants ne sont pas les mêmes et ne vivent pas leur enfance dans les mêmes conditions. L’objectif est d’éclairer la façon dont les conditions de scolarisation participent à cette construction différenciée des enfants et à la coexistence de mondes enfantins pluriels.
Nous proposons les axes de travail suivants, tout en restant ouverts à d’autres suggestions n’entrant pas dans ces axes :
Date limite d’envoi des propositions d’articles : 20 mars 2018, à frederique.giraud@ens-lyon.fr et à redac@revue-emulations.net.
Contact : Frédérique Giraud
En savoir plus : appel complet disponible sur le site Web de la revue
La Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) du Ministère du travail lance un appel à recherches intitulé :
« Quels usages des contrats courts ? »
Sont prioritairement attendues des recherches reposant sur une approche qualitative et des enquêtes de terrain. Néanmoins, un ou deux travaux combinant approche qualitative et approche quantitative (notamment avec une dimension longitudinale et/ou internationale) pourront être retenus.
Les travaux chercheront à illustrer et comprendre l’usage des contrats courts, ses raisons et ses conséquences, en se focalisant sur les contrats de moins d’un mois dont le développement est très significatif en France.
Les autres types de contrats courts (CDD de plus d’un mois, intérim, contrats aidés, etc.) ne feront pas l’objet d’une recherche spécifique mais pourront être étudiés en lien avec le développement des contrats de moins d’un mois tout comme le seront les contrats permanents.
De plus, le secteur des arts et spectacles ne fera pas l’objet d’analyses spécifiques.
Trois axes de recherche sont proposés autour desquels les candidats pourront se
positionner en proposant des travaux originaux :
Le montant total de 300.000 € alloué par la Dares à cet APR subventionnera de 3 à 5 équipes de recherche environ. Les projets de recherche devront être menés, de préférence, sur une durée maximale de 18 mois à compter de la notification de la convention.
Date limite de réception des projets de recherche : vendredi 23 mars 2018 à 16h.
Contact : Véronique Rémy et Véronique Simonnet
En savoir plus : appel détaillé disponible sur la page Web dédiée
La Fondation Nestlé France attribue chaque année trois bourses scientifiques aux doctorants et aux post-doctorants dont les recherches portent sur l’alimentation, dans ses dimensions biologiques, sociales et humaines.
La vocation de la Fondation Nestlé France est de favoriser la transmission de la culture alimentaire française. Cela implique une connaissance approfondie des pratiques qui constituent cette culture (produits alimentaires et boissons, préparations culinaires, composition des repas, ritualisation des consommations, commensalité des repas, lieux, contexte et temporalité, modalités du plaisir et du partage…) ainsi que l’identification et la protection de ses aspects les plus favorables pour la santé.
Les candidats doivent appartenir à un laboratoire de recherche français, avoir 35 ans maximum, être soit inscrits en thèse depuis au moins deux ans, soit être titulaires d’un doctorat. Les projets soutenus pourront se dérouler en France ou à l’étranger.
Les candidats ne doivent pas occuper un autre emploi à temps plein pendant la durée de l’exécution du projet.
Les bourses sont dotées de 20.000 € chacune.
Date limite d’envoi des dossiers : 27 avril 2018 inclus .
Contact : fondation@fr.nestle.com
En savoir plus : consulter la page Web dédiée
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) se propose, pour la septième année consécutive, de mobiliser à nouveau la recherche académique sur la sécurité d’emploi des produits de santé.
En 2018, l’ANSM financera 3 projets de réseaux permettant le développement au niveau national de la recherche sur chacune des thématiques suivantes :
Réseau national Société et produits de santé :
Depuis quelques années, la société évolue et on observe une augmentation de la méfiance de la population française vis-à-vis des produits de santé et une augmentation de la diffusion de l’information par le grand public via internet, les forums de discussion et les réseaux sociaux. L’ANSM, agence d’évaluation, d’expertise et de décisions dans le domaine de la régulation sanitaire des produits de santé, souhaite mieux comprendre l’évolution de la société afin de continuer à garantir la sécurité des patients.
Dans ce contexte, l’ANSM financera en 2018 la structuration au niveau national d’un réseau d’équipes académiques en sociologie travaillant sur les relations entre la société et les produits de santé.
En lien avec les parties prenantes (professionnels de santé, associations de patients, pouvoirs politiques, autorités réglementaires et média), ce réseau devra permettre de mieux cerner et analyser notamment la relation des français avec les produits de santé, leur connaissance du système de santé et des différents acteurs institutionnels, leur opinion vis-à-vis des autorités et de leurs recommandations, la place croissante des patients dans l’évaluation des produits de santé, la dichotomie entre le ressenti personnel des patients et l’approche populationnelle des décisions en santé publique, et les causes et mécanismes d’emballement médiatique sur les sujets de santé.
Ce réseau, qui permettra à l’ANSM de disposer d’un interlocuteur unique sur ces sujets, pourra être financé pour une durée de 3 ans, pour un montant de 460 000 euros maximum.
La date limite de soumission des dossiers par voie électronique est fixée au 2 mai 2018 (les documents originaux signés devant être transmis au plus tard le 31 mai 2018).
La publication des projets retenus étant prévue en septembre 2018 pour un démarrage des projets début 2019.
Contact : appelaprojets@ansm.sante.fr
En savoir plus : appel complet disponible à l’adresse suivante
Le CNRS et l’Université Chapman (Californie, États-Unis) ont signé récemment un accord d’échange de chercheurs et enseignants-chercheurs.
Dans le cadre de cet accord, l’Université Chapman offre une bourse pour accueillir un.e chercheur.e/enseignant.e-chercheur.e d’une unité rattachée à l’INSHS, pour un séjour de recherche à l’Université Chapman au cours du deuxième semestre de l’année universitaire en cours (du 27 août au 15 décembre 2018).
Date de clôture de l’appel à candidatures : 28 février 2018.
En savoir plus : consulter la page Web dédiée (en anglais)
Le CNRS a ouvert la campagne 2018 de la prime d’encadrement doctoral et de recherche (PEDR).
Instituée par un décret daté du 8 juillet 2009, modifié le 28 mai 2014, la prime d’encadrement doctoral et de recherche est destinée à reconnaître l’engagement des chercheurs et des enseignants-chercheurs dans l’activité de recherche.
Délivrée pour une période de quatre ans renouvelable, elle est attribuée, au CNRS, sur décision de son Président. Pour y prétendre, les chercheurs doivent déposer un dossier de candidature. La PEDR bénéficie :
La campagne de candidature est ouverte à tous les chercheurs, fonctionnaires (y compris les personnels détachés dans le corps des chercheurs au CNRS) et fonctionnaires stagiaires en activité et rémunérés par le CNRS au moment de la campagne.
Les barèmes arrêtés par le Conseil d’administration du CNRS pour la fixation des montants des trois catégories de prime sont les suivants :
Les critères retenus sont représentatifs de l’ensemble des activités, avec une attention particulière portée à l’investissement dans le collectif.
Le dépôt des candidatures se fait uniquement en ligne à partir de l’adresse suivante : https://pedr.cnrs.fr/ entre le 1er février et le 5 mars 2018 (12h, heure de Paris).
En savoir plus : consulter la page Web dédiée (accès authentifié)
La Fondation de recherche Caritas France – Institut de France décerne, avec le soutien du laboratoire d’idées européen POUR LA SOLIDARITÉ - PLS, le 9e « Prix de Recherche Caritas ».
D’une valeur de 10.000 €, ce prix s’adresse à de jeunes chercheuses et chercheurs. Il récompense toute recherche, thèse, mémoire ou publication particulièrement innovante, permettant de faire avancer la compréhension des inégalités, leurs causes et conséquences et de favoriser les initiatives d’action.
Les travaux entrant en lice proviennent prioritairement du champ de la recherche scientifique, mais des initiatives moins académiques provenant d’autres horizons peuvent également être envisagées, a fortiori si elles touchent un public plus large.
En cas de pluralité de travaux jugés méritants, le Jury se réserve la possibilité d’accorder deux prix supplémentaires, respectivement de 5 000 € et 3 000 €.
Le travail de recherche doit être présenté sous forme de publication rédigée en français. Les personnes ayant déjà été reconnues et/ou primées par ailleurs ne seront pas prises en compte.
Les dossiers de candidature doivent être envoyés pour le 5 mars 2018.
Contact : Mathilde Mosse, chargée de projets POUR LA SOLIDARITE - PLS
En savoir plus : consulter la page Web dédiée
Le service de recherche de partenaires de la Commission européenne offre désormais la possibilité d’identifier des partenaires directement au sein des sujets (« topics ») des appels (ouverts et à venir) du programme Horizon 2020.
Les candidats peuvent maintenant accéder à la liste des demandes de recherche de partenaires existantes pour un sujet donné via les pages spécifiques décrivant le sujet de l’appel.
En savoir plus : consulter la page Web dédiée